Présentation

Qui suis-je ?

Maya Angeli

Sage-femme herboriste et transformatrice placentaire
Diplômée Master en phytothérapie, aromathérapie et plantes médicinales


Bonjour! Je suis Maya, sage-femme passionnée et aventurière dans l’âme. Formée en Belgique depuis 2016, j’ai saisi mon diplôme à deux mains avant de partir à la découverte du monde. Ma soif de liberté s’est nourrie de liens humains et de rencontres significatives. Chaque endroit sur Terre m’a révélé de nouveaux couples, de nouvelles traditions et des manières uniques d’accueillir un bébé dans une famille.

Partie à pieds depuis la Belgique, j’ai d’abord réalisé une année en stop. Les rencontres ainsi que le destin, m’ont permis de poser mon sac plusieurs mois en Ardèche, près d’Aubenas. C’est à cet endroit, dans l’ancien cabinet sage-femme de Jacqueline Lavillonière et l’actuel de Hélène Goninet, que j’ai suivi mes premiers compagnonnages dans les accouchements naturels et à domicile, découvrant ainsi la placentophagie.

Grandissant dans ma pratique, j’ai décidé de me lancer en tant que sage-femme libérale. Il y avait tant à apprendre, du prénatal au postnatal, en passant par les consultations gynécologiques et la rééducation du périnée. Mon agenda s’est rapidement rempli !

L’envie de reprendre la route m’a ensuite conduite au Togo et au Sénégal en 2019, où j’ai réalisé deux missions humanitaires médicales. Ces expériences m’ont montré le métier de sage-femme différemment; ayant pour seul matériel mes deux mains et mes cinq sens.

J’ai également redécouvert la placentophagie; utilisée comme ressource médicamenteuse pour les femmes en per et postpartum, prouvant devant mes yeux son efficacité.

De retour en France en 2020, le Covid m’a poussée à m’enraciner à nouveau. J’ai travaillé comme sage-femme indépendante tout en réalisant des gardes hospitalières. Après un court retour en Belgique, où j’ai exercé comme herboriste, je suis arrivée en Suisse en octobre 2021.

Aujourd’hui, je suis fière de mon parcours et je me réjouis de rencontrer de nouveaux couples dans leur projet de parentalité.

Mon seul dessein est de les accompagner au mieux dans cette belle aventure, et la placentophagie vient soulager un post-partum intense, tant physique, que psychique.

La placentophagie, qui consiste à consommer son placenta en période du post-partum, est une pratique observée chez de nombreux animaux et certaines cultures humaines. Partisans de l’accouchement naturel et de l’accompagnement du post-partum, nous croyons que la placentophagie peut avoir des avantages pour la santé des mères, tels que l’aide à l’allaitement, la réduction des risques de dépression post-partum, la reconstitution des nutriments essentiels, la réduction des saignements post-accouchement, l’apport d’énergie et la réduction des carences en fer.

Il est important de noter que les effets bénéfiques de la transformation placentaire ne sont pas universellement reconnus. Avant de décider de consommer votre placenta, il est essentiel de consulter votre professionnel de la santé et de rencontrer au préalable la personne en charge de la transformation placentaire, afin de discuter des éventuelles possibilités de transformation et de revoir ensemble s’il est possible de le faire.

La transformation placentaire et la placentophagie sont des sujets fascinants qui suscitent un intérêt croissant parmi les partisans de l’accouchement naturel et de l’accompagnement du post-partum. De nombreuses femmes rapportent des expériences positives après avoir consommé leur placenta.

En éliminant les contre-indications existantes à la transformation, aucun risque (si ce n’est, d’une transformation réalisée par de non professionnels) n’a à ce jour, été rapporté par la science.

Pourquoi se débarrasser d’un organe noble, si important à la croissance de nos bébés et à la création du lien maternel, alors que tous les mammifères le consomment ?

Avons-nous oublié notre animalité, pourtant si présente de la conception jusqu’à l’enfantement ?

Une seule question se pose: pourquoi pas vous ?

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